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La crise du logo

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Depuis un an, on entend parler à tous les coins de rue de la fin du bling-bling. Les banques font faillite ou profil bas,  les traders sont invités à dépenser leurs bonus de manière responsable (je ne sais d’ailleurs pas trop ce que proposait le fameux supplément du FT publié annuellement autour de mars à la période des bonus : How to Spend it?), Sarko a remisé sa Rolex, les marques de luxe font grise mine…

Au milieu de toute cette détresse, certaines marques réussissent à passer à travers les gouttes :

American Apparel ou Uniqlo déchirent tout grâce à leur style no logo couleur unie et affirmation de soi.

Le distributeur américain Urban Outfitters séduit les bobos et hipsters ricains comme jamais avec des marques no logo (NB: Abercrombie & Fitch, marque WASP pour conservateurs racistes se casse la gueule).

D’autres ont carrément décidé d’abandonner leur logo, c’est le cas de la marque Freshjive.

On se rend compte que ce n’est pas forcément le mot qui créé la marque mais l’image du mot ou de la marque. Le code graphique est suffisamment fort pour continuer à signifier la marque, avec ou sans mot.

Une stratégie qui n’explique pas toutefois le succès potentiel d’une marque. Muji en fait les frais. Ce n’est parce qu’on s’appelle “pas de marque” qu’on performe forcément…

Source : la cuisine du graphiste


Posted in Innovation, Marketing Tagged: Abercrombie, American Apparel, bonus, Fitch, Freshjive, FT, hipster, How to Spend it, logo, no logo, Rolex, Sarko, Uniqlo, Urban Outfitters, WASP

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